mardi 31 mars 2015

GROSSE GRISAILLE SUR NOS FILLES

Ce samedi venait offrir à nos -17F et -18F deux "gros morceaux" jusque-là invaincus.

Les premières étaient invitées à prendre leur revanche sur Montigny-le-Bretonneux, qui ne les avait battues que de quatre buts à l'aller.

Quant aux secondes, il allait leur falloir livrer une prestation quasi parfaite pour pouvoir espérer faire plier une équipe nantaise tout aussi talentueuse que déterminée à préserver son invincibilité.

Nos galaxiennes, jeunes et moins jeunes, avaient-elles donc minutieusement aiguisé leurs armes afin de répondre 100% présentes une fois plongées dans la bataille?

Les -17F étaient ainsi les premières à ouvrir le bal en ce samedi après-midi. Que dire? Tout d'abord, que leur première période fut un étalage de pertes de balle... et qu'à ce jeu-là, toute équipe se retrouve bien souvent soit à regretter de ne pas pouvoir mettre la tête de l'adversaire sous l'eau, soit à devoir courir après le score. Rien de surprenant donc si, à la pause, nos galaxiennes se retrouvaient distancées de trois longueurs face à des ignymontaines plus opportunistes... ou plutôt, moins maladroites (10-13). Les dix minutes de la pause étaient donc les bienvenues, non seulement pour remettre nos -17F sur les rails de la concentration mais aussi pour leur faire prendre conscience que faire chuter le leader de leur poule était, cet après-midi-là, clairement à leur portée. Eh bien, si elles parvinrent à gommer le mal du premier acte, elles trouvèrent malheureusement le moyen de le remplacer par un autre, celui de l'inefficacité au tir... à croire que les -18F les avaient contaminées à la sortie de leur match de la semaine dernière face à Issy-les-Moulineaux! Aucune stat' à l'appui... mais même le moins aguerri des spectateurs aura noté, tout au long des vingt-cinq dernières minutes, le nombre incalculable de tirs manqués. Tout simplement du gâchis!... surtout quand on sait que les ignymontaines, bien que devant tout au long de cette seconde période, n'auront jamais compté plus de trois buts d'avance... et auront, même si ce n'est qu'à quelques reprises, senti passer le vent du boulet... avant de conclure la rencontre sur le score de 23 à 20. Eh oui, à s'en mordre les dix doigts!

Quelques heures plus tard, les -18F auraient-elles donc eu la bonne idée de redorer le blason de nos galaxiennes? Eh bien, non! Si l'on disait quelques lignes plus haut les -17F "contaminées", qualifions alors les -18F de "toujours souffrantes"! Les concernant, les stat' sont bel et bien là pour étayer notre diagnostic: pour un nombre de tirs quasi identique, les nantaises ont affiché 52% de réussite là où nos galaxiennes n'en ont atteint que 39. Si une telle différence peut parfois être comblée par de meilleurs chiffres dans d'autres secteurs du jeu, il aurait alors fallu jouer face à un adversaire d'un autre calibre que celui de Nantes! Une observation qui vaut tout autant quand il s'agit de concentration, d'agressivité et d'application en début de match. En effet, comment ne pas se tirer une première balle dans le pied quand on offre à un tel adversaire une avance de cinq buts en sept minutes de jeu (0-5)? Bref, rien de mieux qu'une petite métaphore pour résumer cette rencontre: "L'alpiniste préparé à devoir gravir 4.000 mètres ne peut, en pleine ascension, prétendre pouvoir en gravir 8.000". Victoire de Nantes 31 à 23.

Aucune de nos deux équipes n'ayant su utiliser les bonnes armes en ce samedi 28 mars, gageons qu'elles repartiront au combat le samedi 11 avril tout aussi futées qu'affûtées!

lundi 23 mars 2015

DEMI-(É)TEINTE(S)

À l'occasion de leur plus court déplacement de la saison, nos -18F pouvaient non seulement espérer conserver la 2ème place de leur poule mais aussi distancer l'équipe d'Issy-les-Moulineaux de cinq points au classement général. Et nous avions bel et bien toutes les raisons d'y croire... jusqu'à ce qu'un certain taux de réussite vienne s'en mêler! Eh oui, malgré un rendement défensif retrouvé, comment nos galaxiennes pouvaient-elles raisonnablement entrevoir une issue favorable en affichant une efficacité de 32% aux tirs? Si elles ont parfois buté sur une gardienne isséenne des plus inspirées, n'en oublions pas pour autant les nombreux tirs pris à mauvais escient ou effectués sans conviction. Résultat des courses: une défaite sur le score de 22 à 20... nos galaxiennes ayant pourtant tiré quatorze fois de plus que leurs adversaires qui, elles, présentent une bien meilleure copie offensive avec un taux de réussite de 45%! Conclusion: nul besoin de chercher midi à 14h.

S'agissant des -17F, l'objectif du week-end était très simple: ne pas dérailler face aux dernières de leur poule afin de valider les trois points dernièrement et chèrement obtenus face à Massy-Palaiseau. Eh bien, profitant d'une équipe de Villiers-le-Bel clairement affaiblie par quelques absences, nos jeunes galaxiennes furent agréablement surprises de ne pas avoir à puiser dans de grandes ressources pour repartir du Val-d'Oise avec trois nouveaux points au compteur (29-21). Une victoire qui ne vaut donc pas vraiment la peine d'être commentée et qui se résumera en deux mots: contrat rempli!

mercredi 11 mars 2015

4 GALAXIENNES EN ROUTE POUR LES INTERCOMITÉS



Elles sont toutes les quatre nées en 2001 et ont intégré le Projet Galaxy en septembre dernier. Pour celles et ceux qui ne les découvriraient qu'aujourd'hui, sachez qu'elles se prénomment Laureen, Anne-Liz, Assistan et Audrey (de gauche à droite sur la photo).



Benjamines des trente galaxiennes actuelles, elles défendent également les couleurs du Comité de Paris, pour lequel elles iront jouer, dimanche prochain, le 2ème tour des intercomités. Souhaitons-leur de surfer sur leur belle prestation du week-end dernier en -17F... et, à trois d'entre elles, d'être portées par les ailes de leurs 14 ans dignement soufflés cette semaine!

Sachez également que l'une d'entre elles se fait appeler "noix de coco". À vous de l'identifier... car nous resterons discrets!

mardi 10 mars 2015

C'est maintenant que ça se joue !

Les garçons déplorent des blessés depuis quelques matches.
Or c'est le moment d'aller glaner les précieux points qui pourront nous conduire aux 1/8èmes du CF.
Après la défaite à l'ACBB les garçons sont allés à Montargis avec l'espoir de ramener 3 points.
Hélas nous avons du nous contenter d'un match nul...

La réaction c'est maintenant !
Victoire impérative samedi 18 h au gymnase Poliveaux contre les 2èmes, 1 point devant, HOCHFELDEN DETTWILLER.

Come on boys !

lundi 9 mars 2015

EN FILLES... DEUX GROSSES BOUFFÉES DE BONHEUR!!!


Eh oui, à la sortie d'un tel week-end, comment ne pas afficher le plus gros de nos sourires?!... tout en lâchant un: "Qu'est-ce que ça fait du bien!".

Et pourtant, les missions respectives de nos -17F et -18F s'annonçaient plutôt compliquées. Prenons tout d'abord la direction de La Rochelle, plus précisément Périgny, terre d'accueil du premier rendez-vous. Malgré des locales figurant à l'avant-dernière place de leur poule avec une seule victoire en quatre matches, nos -18F savaient qu'elles ne pourraient, la fleur au fusil, confirmer le regain de forme observé trois semaines plus tôt face à Saint-Sébastien. Leur rencontre débutait donc à 18h30, ce samedi, en ouverture de la D2 féminine d'Aunis-La Rochelle... et autant dire que, si nos galaxiennes s'attendaient à devoir batailler, elles ne pouvaient se douter, une seule seconde, de l'âpreté du combat qui les attendait. Bon, mettons tout de suite de côté les trois premières minutes du match pendant lesquelles seules leurs ombres semblaient s'opposer aux rochelaises et à l'issue desquelles elles étaient déjà menées 4 à 1 pour saluer leur réveil entre les 16ème et 27ème minutes, les amenant à infliger un inattendu 8-0 à des adversaires particulièrement bien armés. Nos galaxiennes étaient désormais dans leur match et regagnaient les vestiaires avec cinq longueurs d'avance (18-13). Un drôle de vent allait alors souffler tout au long de la seconde période... celui des décisions arbitrales qui, globalement en la faveur de nos galaxiennes durant le premier acte, allait grossièrement se retourner contre elles de la 30ème à la 60ème minutes. Inconcevable. Comment auraient-elles pu imaginer que deux arbitres, à l'impartialité pourtant palpable, puissent à ce point en arriver à ne siffler que dans un sens?!... jusqu'à leur donner l'impression de jouer à sept contre neuf. Bien loin d'être soufflées par d'aussi nombreuses bourrasques arbitrales, nos galaxiennes semblaient s'accrocher, non pas à un arbre, mais à l'idée que ce qui ne les tuerait pas les rendrait plus fortes. Sentant le vent du boulet approcher à dix minutes de la fin de la rencontre (24-23), elles allaient alors faire preuve d'une rare solidarité et d'une concentration sans faille, faisant abstraction de la clameur de supporters rochelais venus en nombre et laissant à Benjamin et Stéphane le soin de contester pour elles. Bref, au coup de sifflet final, tout le monde avait bel et bien compris qu'elles venaient de décrocher, contre vents et marées, leur plus belle victoire depuis le début de la saison (31-27).

Après ce samedi riche en sensations, qu'allait donc bien pouvoir nous réserver le dimanche, qui voyait nos -17F se rendre sur les terres de Massy-Palaiseau? Autant dire tout de suite que les prestations "mi-figue mi-raisin" de nos jeunes galaxiennes depuis le début de la saison leur faisaient revêtir, sans contestation possible, l'habit du challenger. Souvenons-nous par ailleurs du voeu maintes et maintes fois formulé à leur endroit: que toutes jouent enfin la même partition! Eh bien, au lendemain de ce match, nous voilà désormais merveilleusement contraints de remercier le génie qui l'aura exaucé!... sans oublier pour autant de féliciter l'ensemble des filles de l'équipe qui, bien que menées de la 15ème à la 45ème minutes, n'auront jamais cédé beaucoup de terrain à leurs adversaires du jour pour venir les coiffer d'une toute petite longueur à une minute de la fin de la rencontre (23-22).

Oui, nous avons donc bel et bien toutes les raisons de sortir de ce week-end heureux! Et gageons que, d'ici quelques semaines, ces deux belles victoires pourront être, au regard de nouvelles bonnes prestations, qualifiées de fondatrices pour chacun de nos deux collectifs.

dimanche 8 mars 2015

mardi 3 mars 2015

LES 2 SUPER B DES -18F


Tout paraît couler de source... et pourtant!

À la base, il s'agit de réunir une équipe et un entraîneur... bon, jusque-là, rien de bien compliqué. Tout commence à se corser quand les matches doivent se dérouler à l'extérieur... et quand on entend, à l'issue du dernier entraînement de la semaine, résonner cette question aux faux airs de maxime: "Qui a une voiture pour ce week-end?". Arrivent alors en tête les "Non", suivis de très près par les "Je sais pas" et "J'ai pas demandé", sans compter les voix non exprimées, que tout entraîneur hautement déterminé s'empressera bien sûr de relancer jusqu'à l'obtention d'un "Faut que je demande" ou, mieux encore, d'un "Oui, peut-être mon père". Ce qui est sûr, c'est que rien ne sera résolu le soir même de l'entraînement et qu'il faudra compter, le lendemain, sur quelques messages salvateurs... appels, sms ou posts Facebook qui, d'ailleurs, n'émergeront parfois qu'à quelques petites minutes de l'heure H. Eh oui, un rituel auquel il est bien difficile d'échapper... sauf pour ces rares équipes qui ont la chance de pouvoir compter, dans leurs rangs, quelques parents au dévouement sans bornes. Même s'ils sont avant tout séduits et motivés à l'idée de pouvoir suivre leur propre descendance, soyons convaincus que leur présence profite à tous, de l'entraîneur à l'ensemble des joueurs ou joueuses, en passant par le club et l'ensemble des autres parents, moins disponibles ou indisponibles. Sachons également que leur apport ne se limite pas toujours au seul nombre de places dont dispose leur véhicule. Sur le terrain, ils peuvent tout aussi bien permettre à l'équipe d'évoluer dans les meilleures conditions possibles, en officiant notamment à la table de marque en tant que secrétaire ou chronométreur. Qu'on les qualifie de super supporters, d'inconditionnels ou de passionnés, ces parents sont donc avant tout des bénévoles sans lesquels le concept de pratique ne serait que pure utopie. Alors, s'ils ne comptent, sur toute une saison, ni les kilomètres avalés ni les heures de leur temps libre parfois sacrifiées, prenons, de notre côté, quelques secondes pour les en remercier. 

Un grand merci à Karine et Éric.